Dans le cadre du concours du programme Vous faites partie de l’histoire, Maher Al-Khadi (école Saint-Laurent) a réalisé son travail sur la vie de Toni Moassab. Maher a remporté le 3ème Prix.
Ma production écrite sur Monsieur Toni Moassab
Bonjour Je m’appelle Maher. Pendant l’entrevue que j’ai faite, j’ai appris plusieurs choses. Je vais essayer de vous raconter presque tout ce que mon personnage m’a dit et j’espère que vous allez comprendre vraiment le sens du mot insistance.
Toni Moassab est un personnage très sympathique que j’ai choisi pour le projet.
Il est né le premier mars 1947, dans son pays d’origine, la Syrie. Cette personne est chrétienne et elle parle la langue française depuis trente-sept ans.
Dans son enfance, son père travaillait comme un chauffeur. Cependant, sa mère était une chômeuse. Toni a un frère et quatre sœurs. Il se sentait bien dans sa famille, mais c’était le contraire avec sa belle-mère, il avait de problèmes avec elle. Il était un adorateur de musique. Ce dernier ramassait de l’argent pour acheter son instrument de musique préféré ; la darabakeh.
Son école se situait à Damas. Elle était grande et assez connue. Comme souvenirs, il avait divers certificats de scolarité. Malheureusement, tous sont restés dans son pays. Sa matière favorite était l’arabe, il l’aimait vraiment. Il avait plusieurs amis, mais des copains extraordinaires Le syrien apprenait la langue française comme une langue secondaire.
Aujourd’hui, il est un musicien fameux dans la communauté arabe à Montréal. Mais aussi, il est un mécanicien. Auparavant, il occupait l’emploi d’un coiffeur pour dames, il avait son propre salon. Il trouve son travail de musicien bien amusant. Cela fait cinquante ans qu’il exerce sa profession de musique. Ce virtuose ne pense pas d’abandonner son travail parce qu’il l’adore. Mais s’il était obligé de le quitter un jour, alors il le déserterait.
Cet...
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Dans le cadre du concours du programme Vous faites partie de l’histoire, Maher Al-Khadi (école Saint-Laurent) a réalisé son travail sur la vie de Toni Moassab. Maher a remporté le 3ème Prix.
Ma production écrite sur Monsieur Toni Moassab
Bonjour Je m’appelle Maher. Pendant l’entrevue que j’ai faite, j’ai appris plusieurs choses. Je vais essayer de vous raconter presque tout ce que mon personnage m’a dit et j’espère que vous allez comprendre vraiment le sens du mot insistance.
Toni Moassab est un personnage très sympathique que j’ai choisi pour le projet.
Il est né le premier mars 1947, dans son pays d’origine, la Syrie. Cette personne est chrétienne et elle parle la langue française depuis trente-sept ans.
Dans son enfance, son père travaillait comme un chauffeur. Cependant, sa mère était une chômeuse. Toni a un frère et quatre sœurs. Il se sentait bien dans sa famille, mais c’était le contraire avec sa belle-mère, il avait de problèmes avec elle. Il était un adorateur de musique. Ce dernier ramassait de l’argent pour acheter son instrument de musique préféré ; la darabakeh.
Son école se situait à Damas. Elle était grande et assez connue. Comme souvenirs, il avait divers certificats de scolarité. Malheureusement, tous sont restés dans son pays. Sa matière favorite était l’arabe, il l’aimait vraiment. Il avait plusieurs amis, mais des copains extraordinaires Le syrien apprenait la langue française comme une langue secondaire.
Aujourd’hui, il est un musicien fameux dans la communauté arabe à Montréal. Mais aussi, il est un mécanicien. Auparavant, il occupait l’emploi d’un coiffeur pour dames, il avait son propre salon. Il trouve son travail de musicien bien amusant. Cela fait cinquante ans qu’il exerce sa profession de musique. Ce virtuose ne pense pas d’abandonner son travail parce qu’il l’adore. Mais s’il était obligé de le quitter un jour, alors il le déserterait.
Cet homme est venu à Montréal en 1971, cela fait trente-sept ans. Il a eu décidé d’immigrer ici parce que sa femme vivait déjà au Canada (Montréal). Il a eu un choc culturel en visitant le centre-ville, mais il s’est habitué après.
Le début de sa vie ici était vraiment difficile, car il ne connaissait personne. Cela lui a pris sept ans pour décider définitivement de rester au Canada. Heureusement, il a trouvé un travail tout de suite, il profitait de cette chance. En arrivant ici, ses connaissances sur la langue française n’étaient pas assez, donc, il lui fallait qu’il fasse beaucoup d’efforts herculéens, afin qu’il puisse l’apprendre. Il habitait à Montréal, parce que c’était plus près des écoles de ses enfants.
Ce musicien a une darabakeh professionnelle comme un objet de valeur. Elle a une grande histoire cachée. Cet objet ressemble à une vase qui est couverte de belles décorations. Il l’utilise lorsqu’il s’en va au boulot. Cet instrument arabe est très bien gardé par son propriétaire. Peut-être un jour, il l’offrira à un de ses enfants.
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La communauté syrienne au Canada
La communauté syrienne à Montréal de 1882 à 1940 :
À Montréal, selon le recensement de 1921, 1500 personnes sont dorigine syrienne. Parmi la population active de la première vague dimmigration syro-libanaise, la proportion de propriétaires de commerces est particulièrement élevée. En 1925-1926, Montréal compte au moins 200 commerces appartenant à des Syriens-Libanais. Cependant, le groupe le plus nombreux est formé par les salariés : commis, vendeurs, livreurs, manœuvres, etc. Les Montréalais dorigine syrienne de cette époque comptent aussi des cols blancs spécialisés ainsi que des professionnels, par exemple des médecins, des avocats, un comptable, un détective, des agents dassurance, des interprètes et des membres du clergé. Quelques-uns jouent un rôle actif dans le développement des salles de cinéma, par exemple la famille Lawand, qui exploite plusieurs cinémas. Les femmes de la classe moyenne et des familles à faible revenu participent aussi à la vie économique : elles travaillent au commerce de leur mari ou prennent en main les affaires si celui-ci meurt ou tombe malade, travaillent en usines ou comme vendeuses ambulantes, ou encore comme couturières et coupeuses pour des fabricants syriens de vêtements.
La rue Notre-Dame Est, une Petite Syrie au début du siècle
Au début du 20e siècle, et jusquaux années 1940, la rue Notre-Dame Est était une véritable Petite Syrie, cœur de la vie commerciale et culturelle de la communauté syrienne libanaise. On peut imaginer une rue où tout, depuis lapparence jusquaux bruits et aux odeurs, est distinctif : les conversations qui se déroulent en arabe; les livres, les journaux et les revues en arabe sur les comptoirs des magasins; le cliquetis des pièces de trictrac (tawli) au Syrien National Club; la douce odeur du pain syrien dAbouessa; les arômes des mets syro-libanais émanant de la cuisine dAfifi; les échos des chants liturgiques du rite byzantin de la cathédrale Saint-Nicolas. La culture syro-libanaise de Montréal était plus visible et publique que partout ailleurs, bien que la communauté soit aussi présente autour du square Viger et de lintersection des rues Saint-Denis et Craig (aujourdhui Saint-Antoine).
Arabes et musulmans? Plutôt chrétiens
Contrairement à la croyance populaire, la majorité des premiers immigrants syriens-libanais étaient chrétiens et non musulmans. Ils appartenaient à lune des nombreuses églises de rite oriental : grecque-melchite catholique, catholique maronite, orthodoxe dAntioche (aussi appelée « syrienne » ou « grecque »), syriaque orthodoxe et catholique. Au début, les Syriens chrétiens assistaient aux offices religieux dans des maisons privées, des chapelles temporaires ou des églises catholiques romaines ou protestantes.
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